
Près d'un mois et demi après le Jour-J, les Américains ont du mal à progresser à travers le bocage normand, qui avec ses hautes haies et ses chemins creux génent fortement la progression des blindés, en masquant les canons allemands. Fin juillet leur progression s'est soldée par de nommbreuses pertes pour un gain de terrain gagné minime, de plus des centaine de milliers d'hommes commencent à saturer l'espace de la tête de pont. Le terrain est propice aux actions défensives et aux coups de main, que...
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